Question 1

Un banquet dans une jardinière

Accepted Answer

À votre avis, combien de terres arables consommez-vous vraiment ?

Au Luxembourg, un résident utilise actuellement près de 4000 m² de surface, dont une grande partie provient de l’importation. En revanche, si l’on répartissait les 1,6 milliard d’hectares de terres agricoles à l’échelle mondiale, chaque personne aurait accès à 2000 m². Cet espace suffirait à cultiver l’essentiel : pain, pommes de terre, fruits, légumes, ainsi que l’alimentation animale pour la viande, le lait et les œufs (sans oublier que l’alimentation des animaux est en partie issue des terres arables), sans négliger le tabac et le coton. Ce terrain agricole de 2000 m² existe réellement, près de la Maison de la Nature de Kockelscheuer, organisée par IBLA, natur&ëmwelt et co-labor.

Lors de l’exposition LUGA, ce phénomène mondial sera reflété à plus petite échelle, avec des jardinières surélevées présentant une recette telle que le Bouneschlupp ou un burger afin d’illustrer les ressources cultivées dans un milieu urbain. Ces plantes locales et ces produits de saison démontrent qu’il estpossible d’intégrer la production alimentaire dans les villes, contribuant ainsi à une agriculture durable et accessible.

Question 2

Un banquet dans une jardinière

Accepted Answer

À votre avis, combien de terres arables consommez-vous vraiment ?

Au Luxembourg, un résident utilise actuellement près de 4000 m² de surface, dont une grande partie provient de l’importation. En revanche, si l’on répartissait les 1,6 milliard d’hectares de terres agricoles à l’échelle mondiale, chaque personne aurait accès à 2000 m². Cet espace suffirait à cultiver l’essentiel : pain, pommes de terre, fruits, légumes, ainsi que l’alimentation animale pour la viande, le lait et les œufs (sans oublier que l’alimentation des animaux est en partie issue des terres arables), sans négliger le tabac et le coton. Ce terrain agricole de 2000 m² existe réellement, près de la Maison de la Nature de Kockelscheuer, organisée par IBLA, natur&ëmwelt et co-labor.

Lors de l’exposition LUGA, ce phénomène mondial sera reflété à plus petite échelle, avec des jardinières surélevées présentant une recette telle que le Bouneschlupp ou un burger afin d’illustrer les ressources cultivées dans un milieu urbain. Ces plantes locales et ces produits de saison démontrent qu’il estpossible d’intégrer la production alimentaire dans les villes, contribuant ainsi à une agriculture durable et accessible.

Question 3

Un banquet dans une jardinière

Accepted Answer

À votre avis, combien de terres arables consommez-vous vraiment ?

Au Luxembourg, un résident utilise actuellement près de 4000 m² de surface, dont une grande partie provient de l’importation. En revanche, si l’on répartissait les 1,6 milliard d’hectares de terres agricoles à l’échelle mondiale, chaque personne aurait accès à 2000 m². Cet espace suffirait à cultiver l’essentiel : pain, pommes de terre, fruits, légumes, ainsi que l’alimentation animale pour la viande, le lait et les œufs (sans oublier que l’alimentation des animaux est en partie issue des terres arables), sans négliger le tabac et le coton. Ce terrain agricole de 2000 m² existe réellement, près de la Maison de la Nature de Kockelscheuer, organisée par IBLA, natur&ëmwelt et co-labor.

Lors de l’exposition LUGA, ce phénomène mondial sera reflété à plus petite échelle, avec des jardinières surélevées présentant une recette telle que le Bouneschlupp ou un burger afin d’illustrer les ressources cultivées dans un milieu urbain. Ces plantes locales et ces produits de saison démontrent qu’il estpossible d’intégrer la production alimentaire dans les villes, contribuant ainsi à une agriculture durable et accessible.

Question 4

Un banquet dans une jardinière

Accepted Answer

À votre avis, combien de terres arables consommez-vous vraiment ?

Au Luxembourg, un résident utilise actuellement près de 4000 m² de surface, dont une grande partie provient de l’importation. En revanche, si l’on répartissait les 1,6 milliard d’hectares de terres agricoles à l’échelle mondiale, chaque personne aurait accès à 2000 m². Cet espace suffirait à cultiver l’essentiel : pain, pommes de terre, fruits, légumes, ainsi que l’alimentation animale pour la viande, le lait et les œufs (sans oublier que l’alimentation des animaux est en partie issue des terres arables), sans négliger le tabac et le coton. Ce terrain agricole de 2000 m² existe réellement, près de la Maison de la Nature de Kockelscheuer, organisée par IBLA, natur&ëmwelt et co-labor.

Lors de l’exposition LUGA, ce phénomène mondial sera reflété à plus petite échelle, avec des jardinières surélevées présentant une recette telle que le Bouneschlupp ou un burger afin d’illustrer les ressources cultivées dans un milieu urbain. Ces plantes locales et ces produits de saison démontrent qu’il estpossible d’intégrer la production alimentaire dans les villes, contribuant ainsi à une agriculture durable et accessible.

Question 5

Un banquet dans une jardinière

Accepted Answer

À votre avis, combien de terres arables consommez-vous vraiment ?

Au Luxembourg, un résident utilise actuellement près de 4000 m² de surface, dont une grande partie provient de l’importation. En revanche, si l’on répartissait les 1,6 milliard d’hectares de terres agricoles à l’échelle mondiale, chaque personne aurait accès à 2000 m². Cet espace suffirait à cultiver l’essentiel : pain, pommes de terre, fruits, légumes, ainsi que l’alimentation animale pour la viande, le lait et les œufs (sans oublier que l’alimentation des animaux est en partie issue des terres arables), sans négliger le tabac et le coton. Ce terrain agricole de 2000 m² existe réellement, près de la Maison de la Nature de Kockelscheuer, organisée par IBLA, natur&ëmwelt et co-labor.

Lors de l’exposition LUGA, ce phénomène mondial sera reflété à plus petite échelle, avec des jardinières surélevées présentant une recette telle que le Bouneschlupp ou un burger afin d’illustrer les ressources cultivées dans un milieu urbain. Ces plantes locales et ces produits de saison démontrent qu’il estpossible d’intégrer la production alimentaire dans les villes, contribuant ainsi à une agriculture durable et accessible.